The Reviews


DON’T TAKE OUR WORD FOR IT, HAVE A LOOK AT WHAT EVERYONE ELSE THINKS...

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Voile Magazine’s review at London Boat Show

Flying Mantis, c’est le nom de ce drôle de foiler découvert au London Boat Show. Imaginez un Moth à foils élargi sur lequel sont greffées en un clin d’œil deux coques supportant un trampoline, le tout pesant – une fois gréé d’un mat démontable de 6,30 m supportant 11,20 m2 de toile – moins de 70 kilos ! Sensations garanties pour ce trimaran tout en carbone qui se positionne sur le marché en vogue des multicoques foilers et semble justifier techniquement son prix élevé… Pour donner quelques éléments de comparaison, c’est le double d’un Weta (trimaran à dérive de même taille) et environ 10 000 € de plus que le Whisper, cata foiler construit chez White Formula.

Une des particularités du Mantis cependant, outre son palpeur sur bout-dehors à la mécanique originale, c’est qu’il est proposé dans une version de de base à dérives pour une navigation en mode « archimédien ». Une fois la bête apprivoisée, il suffit de la remplacer par un foil central en « T » et le safran correspondant. Décollage immédiat et vitesse supersonique assurés par ses trois concepteurs anglais, dont Richard Pemberton, ingénieur en physique des fluides, qui travaille depuis quelques années comme consultant pour des équipes de l’America’s Cup.

Deux atouts majeurs : il est transportable sans avoir besoin d’être démonté, et conçu pour « pardonner » toutes les erreurs de débutant, y compris celui des gabarits dépassant les 100 kilos. Accastillage Harken, voiles North Sails, et plein de petites astuces (dont une garcette au pied de mat permettant de remonter le palpeur pour la mise à l’eau et l’arrivée sur la plage), pas de doute nous sommes dans le haut de gamme, qui ne passe pas inaperçu dans sa livrée noire brute. Nous ayons hâte de le voir voler (pas de vidéo disponible pour l’instant) et de l’essayer !

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Won’t lie I was a little nervous going out in the 20 knots+ Pelar, however after five minutes the nerves were all gone and it could have been 15 knots and flat water from the way the boat handled. - Aaron Smith, Chief Instructor Lake Garda, Andrew Simpson Watersports Centre.

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The Best Foiling Water Toys for 2020 - Boat International

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Pierre Le Clainche's review for Voiles et Voiliers (in French).

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Voile Magazine’s review at London Boat Show

Flying Mantis, c’est le nom de ce drôle de foiler découvert au London Boat Show. Imaginez un Moth à foils élargi sur lequel sont greffées en un clin d’œil deux coques supportant un trampoline, le tout pesant – une fois gréé d’un mat démontable de 6,30 m supportant 11,20 m2 de toile – moins de 70 kilos ! Sensations garanties pour ce trimaran tout en carbone qui se positionne sur le marché en vogue des multicoques foilers et semble justifier techniquement son prix élevé… Pour donner quelques éléments de comparaison, c’est le double d’un Weta (trimaran à dérive de même taille) et environ 10 000 € de plus que le Whisper, cata foiler construit chez White Formula.

Une des particularités du Mantis cependant, outre son palpeur sur bout-dehors à la mécanique originale, c’est qu’il est proposé dans une version de de base à dérives pour une navigation en mode « archimédien ». Une fois la bête apprivoisée, il suffit de la remplacer par un foil central en « T » et le safran correspondant. Décollage immédiat et vitesse supersonique assurés par ses trois concepteurs anglais, dont Richard Pemberton, ingénieur en physique des fluides, qui travaille depuis quelques années comme consultant pour des équipes de l’America’s Cup.

Deux atouts majeurs : il est transportable sans avoir besoin d’être démonté, et conçu pour « pardonner » toutes les erreurs de débutant, y compris celui des gabarits dépassant les 100 kilos. Accastillage Harken, voiles North Sails, et plein de petites astuces (dont une garcette au pied de mat permettant de remonter le palpeur pour la mise à l’eau et l’arrivée sur la plage), pas de doute nous sommes dans le haut de gamme, qui ne passe pas inaperçu dans sa livrée noire brute. Nous ayons hâte de le voir voler (pas de vidéo disponible pour l’instant) et de l’essayer !

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Flying Mantis, c’est le nom de ce drôle de foiler découvert au London Boat Show. Imaginez un Moth à foils élargi sur lequel sont greffées en un clin d’œil deux coques supportant un trampoline, le tout pesant – une fois gréé d’un mat démontable de 6,30 m supportant 11,20 m2 de toile – moins de 70 kilos ! Sensations garanties pour ce trimaran tout en carbone qui se positionne sur le marché en vogue des multicoques foilers et semble justifier techniquement son prix élevé… Pour donner quelques éléments de comparaison, c’est le double d’un Weta (trimaran à dérive de même taille) et environ 10 000 € de plus que le Whisper, cata foiler construit chez White Formula.

Une des particularités du Mantis cependant, outre son palpeur sur bout-dehors à la mécanique originale, c’est qu’il est proposé dans une version de de base à dérives pour une navigation en mode « archimédien ». Une fois la bête apprivoisée, il suffit de la remplacer par un foil central en « T » et le safran correspondant. Décollage immédiat et vitesse supersonique assurés par ses trois concepteurs anglais, dont Richard Pemberton, ingénieur en physique des fluides, qui travaille depuis quelques années comme consultant pour des équipes de l’America’s Cup.

Deux atouts majeurs : il est transportable sans avoir besoin d’être démonté, et conçu pour « pardonner » toutes les erreurs de débutant, y compris celui des gabarits dépassant les 100 kilos. Accastillage Harken, voiles North Sails, et plein de petites astuces (dont une garcette au pied de mat permettant de remonter le palpeur pour la mise à l’eau et l’arrivée sur la plage), pas de doute nous sommes dans le haut de gamme, qui ne passe pas inaperçu dans sa livrée noire brute. Nous ayons hâte de le voir voler (pas de vidéo disponible pour l’instant) et de l’essayer !

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Une des particularités du Mantis cependant, outre son palpeur sur bout-dehors à la mécanique originale, c’est qu’il est proposé dans une version de de base à dérives pour une navigation en mode « archimédien ». Une fois la bête apprivoisée, il suffit de la remplacer par un foil central en « T » et le safran correspondant. Décollage immédiat et vitesse supersonique assurés par ses trois concepteurs anglais, dont Richard Pemberton, ingénieur en physique des fluides, qui travaille depuis quelques années comme consultant pour des équipes de l’America’s Cup.

Deux atouts majeurs : il est transportable sans avoir besoin d’être démonté, et conçu pour « pardonner » toutes les erreurs de débutant, y compris celui des gabarits dépassant les 100 kilos. Accastillage Harken, voiles North Sails, et plein de petites astuces (dont une garcette au pied de mat permettant de remonter le palpeur pour la mise à l’eau et l’arrivée sur la plage), pas de doute nous sommes dans le haut de gamme, qui ne passe pas inaperçu dans sa livrée noire brute. Nous ayons hâte de le voir voler (pas de vidéo disponible pour l’instant) et de l’essayer !

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